Aujourd’hui en Suisse : Un tour d’horizon des dernières nouvelles du mercredi

Quatre nouveaux cantons réduisent la durée des quarantaines

Soleure, Schaffhouse, Glaris et Bâle-Campagne réduisent la durée de la quarantaine pour les cas de contact de 10 à 7 jours.

Cette mesure est entrée en vigueur mardi à Glaris, débute aujourd’hui à Schaffhouse et Bâle-Campagne, et le 10 janvier à Soleure. Presque tous les cantons ont maintenant réduit leur quarantaine à sept jours. Seuls les Grisons et l’Argovie n’ont pas encore procédé à ce changement.

A noter que les personnes ayant été testées positives doivent continuer à s’isoler pendant 10 jours.

Le verdict est tombé : Les vaccins sont efficaces contre les formes graves de l’Omicron.

Il y a eu beaucoup d’incertitude quant au niveau de protection offert par les vaccins contre la variante Omicron.

Mais une nouvelle étude publiée par les autorités sanitaires britanniques confirme que la vaccination complète contre Covid-19 offre une forte résistance contre les formes sévères de la maladie ainsi que les hospitalisations.

C’est ce que confirme un épidémiologiste suisse, Didier Trono. “Les chiffres indiquent qu’avec une troisième dose du vaccin, nous avons 88% de chances en moins de finir à l’hôpital si nous sommes infectés par Omicron”, a-t-il déclaré.

En parlant de variantes… qu’en est-il de la nouvelle mutation “française” ?

Les habitants de la Suisse doivent-ils s’inquiéter de la variante récemment découverte dans le sud de la France ?

Selon Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force Covid-19, cette souche, qui n’a pas encore été nommée, ne semble pas être plus forte que Omicron ou Delta.

“Il faut la surveiller, comme d’autres variantes similaires, mais pour le moment, il n’y a pas de raison de s’inquiéter particulièrement de celle-ci”, a-t-elle déclaré.

C’est parce qu'” il ne semble pas encore se propager. C’est peut-être une de ces variantes qui n’émergent pas”.

Elle a ajouté que la mutation d’un virus est un processus naturel mais que toutes ne sont pas préoccupantes.

Posséder une propriété en Suisse devient encore plus cher

Dans le sillage de la pandémie de corona, la valeur des propriétés résidentielles en Suisse a fortement augmenté en 2021. Et les prix de l’immobilier devraient continuer à augmenter tout au long de 2022, selon le nouvel indice immobilier suisse d’Immoscout24.

Cette hausse des prix se justifie d’une part par la modification des besoins en logement due à la pandémie et d’autre part par le solide développement économique.

En outre, l’immigration se poursuit et l’offre de terrains se raréfie, note le rapport.

Ce graphique montre le processus par mètre carré dans diverses régions de Suisse, et de combien il a augmenté l’année dernière.

Image : Immiscout24

La moitié des travailleurs suisses sont prêts à changer d’emploi.

Cinquante pour cent des travailleurs suisses sont ouverts à de nouvelles expériences professionnelles ou sont déjà activement à la recherche d’un nouvel emploi, selon une nouvelle enquête du cabinet de conseil Randstad.

La recherche d’un salaire plus élevé n’est cependant qu’une des raisons d’un changement d’emploi.

“La pandémie a incité 52% des employés suisses à repenser l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle”, selon l’enquête.

“Les attentes des individus quant à leurs objectifs personnels et professionnels ont définitivement changé. Les gens sont beaucoup plus conscients de leurs désirs et de leurs besoins et également prêts à faire des changements pour équilibrer les différents aspects de leur vie. “

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