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Suisse

Aujourd’hui en Suisse : Un tour d’horizon des dernières nouvelles du jeudi.

La Suisse d'aujourd'hui : Un tour d'horizon des dernières nouvelles du jeudi.

La frontière franco-suisse pendant la pandémie de Covid. Photo : FABRICE COFFRINI / AFP

Réductions proposées de l’aide sociale pour les citoyens non européens : réactions

Dans le cadre d’un projet de révision du droit des étrangers et de l’intégration, le Conseil fédéral propose de réduire l’aide sociale versée aux ressortissants de pays tiers.

Cependant, la plupart des participants à la consultation, qui s’est terminée mardi, sont contre cette mesure, car elle aurait un impact sur les familles avec enfants. Selon les sociaux-démocrates et les Verts, la nouvelle réglementation prévue viole également l’interdiction de discrimination.

Seuls l’Union démocratique du centre (UDC) et le Centre soutiennent le projet du Conseil fédéral.

Les chiffres de la Confédération indiquent que les cantons et les communes dépensent environ 2,8 milliards de francs pour l’aide sociale – contre 900 millions en 2010.

Nouvelles données : La plupart des travailleurs frontaliers suisses viennent de France.

Une nouvelle étude de l’Office fédéral de la statistique (OFS) portant sur le premier trimestre de 2022 confirme que la grande majorité (plus de 203 689) des travailleurs frontaliers viennent de France, ce qui n’est pas vraiment une nouvelle.

Viennent ensuite les Italiens (86 322), puis les Allemands (63, 547), les Autrichiens se situant loin derrière les autres voisins, avec 8 428 employés.

Comme on peut le voir sur le graphique suivant, le nombre de travailleurs frontaliers français en Suisse a augmenté au fil du temps.

Le nombre de travailleurs frontaliers italiens et allemands a également légèrement augmenté, tandis que les chiffres de l’Autriche sont restés stables.

Image : Office fédéral de la statistique de la Suisse.

Le “Home Office” continue de fonctionner

Le travail à domicile s’est généralisé pendant la pandémie.

Mais même maintenant que la vie est en grande partie revenue à la normale, de nombreuses personnes en Suisse continuent de travailler à domicile, cette tendance devenant de plus en plus répandue.

Selon une nouvelle enquête de Marketagent.com Schweiz AG, 75 pour cent des personnes dont le travail leur permet de travailler à domicile aimeraient continuer à le faire, au moins à temps partiel.

“Le défi pour les entreprises n’est plus de faire… [this option] possible, mais de définir la charge de travail du bureau à domicile de manière à ce que les employés soient satisfaits et que la qualité du travail augmente”, a déclaré Jaqueline Rütter, responsable de l’étude.

Pourquoi donner aux réfugiés ukrainiens des logements bon marché (ou gratuits) pourrait se retourner contre eux.

Laisser les réfugiés séjourner temporairement dans des appartements vacants peut sembler une chose décente à faire, mais cette mesure pourrait causer des problèmes aux propriétaires.

La raison en est que le droit suisse de la location est “très, très formaliste. Si le propriétaire commet une petite erreur, cela peut avoir de graves conséquences”, a déclaré Monika Sommer, directrice adjointe de l’association des propriétaires au radiodiffuseur public SRF.

Par exemple, si un logement est loué à des réfugiés pour un coût symbolique, les locataires suivants peuvent exiger les mêmes conditions de location et les propriétaires doivent s’y conformer.

Une option pour contourner cet obstacle potentiel est de proposer, dans le contrat de location, des “rabais Ukraine” exceptionnels s’appliquant uniquement à certaines personnes et situations, selon l’Office fédéral du logement, qui signale cette option de rabais dans le droit de la location.

Si vous avez des questions sur la vie en Suisse, des idées d’articles ou des conseils d’actualité pour The Local, veuillez nous contacter à l’adresse suivante

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