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Aujourd’hui en Suisse : Un tour d’horizon des dernières nouvelles du jeudi.

La Suisse d'aujourd'hui : Un tour d'horizon des dernières nouvelles du jeudi.

Des voitures font la queue à la frontière pour passer en Suisse depuis l’Italie. Photo de Miguel MEDINA / AFP

Les cas de coronavirus augmentent à nouveau

Vous vous souvenez de Covid, le virus qui a fait la une des journaux avant que l’invasion de l’Ukraine par la Russie n’attire l’attention du monde entier ?

Après avoir atteint un pic en janvier, puis baissé et s’être stabilisé pendant un certain temps – ce qui a incité le Conseil fédéral à supprimer presque toutes les mesures sanitaires – le nombre de nouvelles infections est à nouveau en hausse.

D’un peu plus de 16 000 lundi, il est passé à 23 684 hier, selon les données de l’Office fédéral de la santé publique.

Dans le même temps, le nombre d’admissions en soins intensifs liées à Covid a également légèrement augmenté, passant de 127 le 28 février à 135 le 1er mars.

En fonction de l’évolution de la situation épidémiologique au cours du mois de mars, le Conseil fédéral décidera s’il y a lieu de lever les règles Covid restantes – masques dans les transports publics et dans les établissements de santé, ainsi que l’obligation d’isolement pour les personnes infectées – dès la fin du mois.

Augmentation de la demande de comprimés d’iode en Suisse

Alors que le réacteur nucléaire de Tchernobyl en Ukraine est désormais sous contrôle russe, suscitant la crainte d’une catastrophe nucléaire, les pharmacies suisses enregistrent une demande accrue de comprimés d’iode.

Ce médicament est censé empêcher l’iode radioactif de s’accumuler dans la glande thyroïde et de provoquer un cancer de la thyroïde.

Le pharmacien zurichois Leo Grossrubatscher met toutefois en garde contre la prise prophylactique de ces préparations.

“Si vous avalez maintenant deux comprimés d’iode par jour, cela peut entraîner un dysfonctionnement de la glande thyroïde”, a-t-il déclaré.

Il recommande de suivre les instructions des autorités. En cas d’incident et de risque accru, le Centre national des opérations d’urgence diffuserait des instructions à la population sur le comportement à adopter et les médicaments à prendre.

Les Russes en Suisse tentent de se débarrasser de leurs passeports

Alors que l’UE interdit désormais aux banques de traiter avec des clients russes, et que les autorités suisses le font, les ressortissants russes en Suisse “tentent désespérément de se libérer de l’étau toujours plus serré des sanctions. Ils s’éloignent autant que possible de leur patrie”, selon un rapport de la Tribune de Genève.

“De nombreux Russes fortunés ont plusieurs passeports et ont maintenant demandé à ne plus être enregistrés auprès de la banque en tant que résidents russes, mais à être enregistrés à un autre…”. [EU] domicile”, a déclaré au journal le directeur d’une institution de gestion de patrimoine.

Les banques, cependant, restent “très prudentes”.

“Chacun de ces transferts de résidence est examiné par un comité de conformité. Les personnes dont le nom figure sur la liste des sanctions n’ont aucune chance de récupérer leur argent. Aucune banque ne veut être censurée pour avoir violé les sanctions”, selon le rapport.

Le Parlement approuve un nouvel accord de transport transfrontalier avec l’Italie

A l’avenir, la Suisse conservera 80 % des impôts à la source prélevés sur les revenus des frontaliers italiens. Après le Conseil des Etats, le Conseil national a également donné son feu vert à la ratification d’une convention fiscale correspondante.

Cette disposition s’applique aux personnes qui travaillent ou ont travaillé dans les cantons du Tessin, des Grisons ou du Valais entre le 31 décembre 2018 et l’entrée en vigueur du nouvel accord. Ces frontaliers continuent à être soumis exclusivement à l’impôt en Suisse jusqu’à la fin de l’année fiscale 2033.

En contrepartie, la Suisse versera aux communes frontalières italiennes une compensation financière s’élevant à 40 % de l’impôt à la source qu’elle prélève. Les gouvernements de Berne et de Rome sont convaincus que le nouvel accord améliorera sensiblement la réglementation qui date de 1974

Cet accord s’appliquera à quelque 87 000 personnes originaires d’Italie qui sont employées en Suisse.

Vous trouverez ici de plus amples informations sur l’imposition des frontaliers.

Si vous avez des questions sur la vie en Suisse, des idées d’articles ou des conseils pour The Local, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante

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